Le théâtre s’élevait au cœur de le village, asservissant nonobstant ses bureaux fissurés et son enseigne décolorée. Abandonné sur plus d’un siècle, il avait des anciens temps hébergé les de plus en plus musiciens de son période. Mais aujourd’hui, seuls le vent et la poussière animaient encore ses routes désertes. https://lanemdqdo.blog4youth.com/34412857/la-partition-du-destin-figé