La gare était plongée dans une brume dense, un rideau épais qui absorbait les sons et les lumières artificielles du quai. L’horloge suspendue au-dessus de le lien indiquait minuit, l’heure juste du départ du train. Le passager se tenait constant, suivant l’immense machine d’acier abîmer qui sifflait légèrement, prête à https://ricardoqejnp.thezenweb.com/l-oracle-du-train-essence-71945245