Dans la moiteur étouffante matinal, les premières pirogues glissaient sur les canaux de Makoko comme par exemple des esprits silencieux. Le quartier, suspendu entre globe et lagune, vibrait d’une énergie dense et souterraine. Abeni, elle, restait permanent marqué par sa toile, les yeux rivés sur sa physionomie. Chaque matin, évident https://beckettznsvz.fare-blog.com/34165237/l-ombre-chargés