À Bucarest, les toits de cuivre oxydés luisaient d’un scintillement terne marqué par les premières pluies d’octobre. Dans un famille excentré, à l’abri de quelques regards, une femme nommée Daciana avait transformé une sou exclusive en sanctuaire vibratoire. Spécialiste en radiesthésie depuis l’adolescence, elle manipulait son pendule avec une minutie https://brooksmizq653209.timeblog.net/69852020/la-spirale-inversée