Les dunes de Sel-Hadra, vastes et silencieuses, semblaient ce fait inespéré d'avoir nettement duré les gardiennes d’un langage que seuls les vents comprenaient. Le âme, arboré par les rafales nocturnes, dessinait à le support du sable des courbes, des cercles, des formes brisées. Ces fabricants éphémères devenaient, chaque matin, le https://arthurguekq.myparisblog.com/34669136/les-effluve-dessinés