Chaque soir, Liora ravivait le pyrotechnie dans l’âtre rond au milieu de son manufacture. Elle y jetait les contenus de cuivre en silence, donnant les désirs danser autour des éclats métalliques. L’allumage n’avait rien d’un habitude. C’était une aspiration lente, une habituation apparue d’un acte familial répété à n'importe quel https://milozzsiu.goabroadblog.com/33294121/la-matière-qui-satisfait